Quand le commerce et l’art font bon ménage avec Pascal Robaglia

Quand le commerce et l’art font bon ménage avec Pascal Robaglia

Comment il a débuté dans le milieu de l’art ?

Après son licenciement vers la fin des années 80 et le début des années 90, Pascal Robaglia avait touché l’allocation chômage pour faire vivre sa famille. Mais, comme c’est un homme de valeur, il a très vite cherché un moyen de subvenir aux besoins de sa famille et cela même s’il ne disposait pas d’un fonds propre. Lorsqu’il avait vu la beauté des toiles issues de l’héritage familiale ainsi que la splendeur de sa penthouse de Neuilly, l’idée d’ouvrir sa propre galerie d’art dans sa maison a germé.

En tant qu’ancien du Sup de Co Dijon, il n’était en aucun cas un expert en art mais avait l’amour pour les œuvres artistiques. Il disposait plutôt des compétences de vendeur. Grâce aux soutiens de sa femme, son auto-formation et son envie de réussir, il a su se démarquer des autres galeries d’art, proposant un concept innovateur.

La difficulté, un début à surmonter

La vie n’était pas rose pour Pascal Robaglia à ses débuts. Le paysage unique de sa penthouse de Neuilly se trouve être sa source d’inspiration, là où tout à commencer. Combiné à cela sa collection de tableaux héritée d’une collection familiale.  La décision de devenir vendeur d’œuvre d’art dans sa propre maison germait alors dans sa tête. Pour le pousser dans cette voie, son épouse avait été bien présente au cours de son ascension.

L’intervention de cette dernière se tournait un peu plus au niveau de la publicité, grâce à son travail dans une société de communication suisse. Mais, Pascal Robaglia ne se contenta pas de cette seule publicité, il a également loué un encart publicitaire dans Le Figaro pour attirer les amateurs d’art dans sa galerie situé à Neuilly.

Pascal Robaglia, un amour de galeriste

Comment Robaglia est devenu le galeriste de renom qu’il est à ce jour ?

N’ayant pas connu des débuts faciles, Robaglia avait continué à espérer et s’est trouvé un talent qui était enfouis en lui depuis plusieurs années. Le paysage unique de sa penthouse de Neuilly se trouve être sa source d’inspiration, là où tout à commencer. Dans ce cadre unique, il avait décidé de mettre en avant les tableaux qu’il avait hérités afin de les mettre en vente. L’idée était de créer un coup de cœur auprès des acheteurs, et l’objectif a été atteint. Une bonne idée d’agencement et une ambiance conviviale sont les maîtres mots de cette réussite.

Cet esprit et cette conviction, vous pouvez aussi les retrouver auprès de ce galeriste lorsqu’il enfile sa casquette de sportif aguerri. C’est certainement ce qui a permis à cet autoentrepreneur de se démarquer de ses concurrents, et cela dès son début.

L’histoire de l’école du frigo, vous en direz tant !

L’école frigo, vous vous demandez sûrement en quoi cela consiste ? Sachez que cette histoire rappelle le premier instant où Pascal Robaglia avait lancé sa carrière de galeriste et lorsque son premier client lui a demandé de quelle école le tableau qu’il désirait acheter provient. Pris au dépourvu, il avait tout bonnement inventé l’école frigo. La vente a été conclue et c’est ce qui a donné confiance à notre galeriste d’aller au-delà de ses rêves.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *